Pourquoi « La Petite Plante » ?
Sœur Marie-Claire, religieuse et infirmière, a été touchée par le livre de Paul Marcoux et sa philosophie de vie: « Dans le regard des autres ».
Ce papa, d’un enfant porteur de malformation suite à la thalidomide, y livre son témoignage, ses réflexions et son parcours ultérieur suite au verdict d’acquittement d’une maman et de son médecin du meurtre d’une petite fille, dans la même situation de handicap, à laquelle ils ont administré une dose létale.
Tout comme lui, Sœur Marie-Claire est convaincue que toute personne, quelle que soit sa situation de handicap, possède les compétences pour grandir, s’épanouir et trouver sa place de femme ou d’homme dans la société.
Son intégration se heurte aux barrières de notre inconscient individuel ou collectif.
Dans ses réflexions, l’auteur fait référence à des passages d’une pièce de théâtre relatant un évènement similaire : « Un jour dans la mort de Joe Egg » aussi appelée « Un jour dans la mort de la petite plante » (Peter Nichols, Claude Roy).
Une petite plante en croissance que l’on soutient dans chacun de ses besoins afin qu’elle grandisse, sans attente particulière si ce n’est son épanouissement. La métaphore est venue spontanément illustrer cette philosophie.
Elle implique le respect de la forme et de la complémentarité avec l’autre afin de constituer un tout « soigné-soignant » où chacun trouve son harmonie et grandit ensemble. Cette philosophie est celle que l’on peut souhaiter à chacun de nous.
Le logo a été choisi dans cet esprit et « Pour s’épanouir » en est la signature.